Sonia Mabrouk reçoit les acteurs de l’info du jour, nos experts et nos journalistes dans #MidiNews
NEWS vous propose un rendez-vous 100% politique présenté par Julien Pasquet
Les invités de Nelly Daynac débattent de l’actualité dans #180minutesInfo du lundi au vendredi
Nice héberge de nombreux tournages mais il ne s’agissait pas, loin de là, d’une nouvelle suite à la saga américaine déjantée s’étalant en sept films de 1984 à 1994. La capitale azuréenne a accueilli pendant trois jours, du 13 au 15 mai, la « première académie de police européenne », dans le cadre du projet européen PACTESUR2, avec 43 policiers municipaux venant de 15 villes : Madrid, Turin, Liège, Vilnius, Xabia (Espagne), Riga, Gdansk, Tallinn, Bologne, Bratislava, Lisbonne, Kordelio-Evosmos (Grèce), Budapest, Bruxelles et Nice.
Les 13 premiers otages israéliens qui doivent sortir de Gaza vendredi 24 novembre seront pris en charge psychologiquement. Leur demande en soin est particulière, comme l’explique sur le plateau du 12/13 info Marilyne Baranes, docteure en psychologie clinique et spécialiste en psycho-traumatisme.
Olivier Benkemoun revient sur la journée d’infos et de débats traités sur l’antenne de CNEWS dans #lemeilleurdelinfo
La jeune Franco-israélienne, enlevée par le Hamas lors de l’attaque du festival de musique Supernova Sukkot, avait été libérée le 30 novembre dernier dans le cadre d’un cessez-le-feu temporaire. La jeune femme a accordé une interview à une télévision israélienne ce jeudi 28 décembre où elle revient sur sa détention à Gaza pendant près de deux mois.
Les 13 premiers otages israéliens qui doivent sortir de Gaza vendredi 24 novembre seront pris en charge psychologiquement. Leur demande en soin est particulière, comme l’explique sur le plateau du 12/13 info Marilyne Baranes, docteure en psychologie clinique et spécialiste en psycho-traumatisme.
Soixante otages ont été libérés depuis le début de la trêve entre Israël et le Hamas, enclenchée vendredi. Les otages sont tous pris en charge via un protocole spécifique introduit en 2017.
La représentante officielle du protocole israélien 6C, Emmanuelle Halioua, était l’invitée de Punchline, ce jeudi 30 novembre, sur CNEWS. Elle s’est exprimée sur le protocole de libération des otages : «Quand on est otage, on l’est souvent longtemps après, même dans son salon. Il n’y aura pas de posture victimaire, pas de posture passive».
Crimes sexuelle du Hamas: des témoignages glaçants.
Soixante otages ont été libérés depuis le début de la trêve entre Israël et le Hamas, enclenchée vendredi. Les otages sont tous pris en charge via un protocole spécifique introduit en 2017.
Le Hamas a mis au point la razzia barbare sur des civils sans défense. Un lieutenant-colonel de Tsahal a mis au point une procédure en six points pour sortir du choc traumatique en quelques minutes.
Invitée dans 180 Minutes Info WE, Emmanuelle Halioua représentante officielle du protocole 6C a évoqué les viols commis par le Hamas lors de l’attaque du 7 octobre : «Agresser des femmes, c’est briser la continuité qu’elles assurent dans une nation».
Dès demain, en vertu de l’accord de libération partielle, dix otages doivent être libérés. Plus de la moitié des 53 otages libérés sont des enfants, parfois très jeunes et à ce titre, des consignes ont été données aux soldats qui les accueilleront, après le terrible traumatisme qu’ils ont vécu.
Plus d’un mois après le début de la guerre entre Israël et le Hamas, le choc psychologique est toujours très présent dans la société israélienne. Pour surmonter l’état de sidération, les Israéliens sont dès le plus jeune âge formé à un protocole de déchoquage psychologique.
Le deuil est là, national, avec ce séisme de ce vendredi 8 septembre. Le bilan provisoire témoigne de cette séquence qui est une catastrophe douloureuse. La mobilisation a été immédiate : du côté de tous les dispositifs décidés par SM le Roi ; de celui aussi des citoyens ; sans oublier celui de tous les intervenants militaires et civils sur le terrain dès les premières heures.
Apparue en Israël, cette méthode aide les victimes à sortir d’un état de choc et serait particulièrement utile durant le conflit ukrainien.
J’ai eu l’occasion d’appliquer ce protocole une dizaine de fois pendant mon reportage. J’ai éprouvé son efficacité sur le terrain. Ce n’est pas de la magie, ça marche”, relate Nicolas Delesalle sur Facebook. Ce grand reporter pour Paris Match a couvert la guerre en Ukraine durant trois semaines aux côtés du photojournaliste Frédéric Lafargue. Tous deux avaient été formés à cet outil avant leur départ.
La guerre en Ukraine fait de nombreuses victimes psychologiques en plus des personnes blessées ou tuées par les attaques russes. Pour sortir les victimes de leur détresse psychologique, il existe une méthode simple à appliquer, le protocole 6C.
Depuis que la guerre en Ukraine a éclaté, on entend parler de gens en état de sidération, et d’un outil qui permettrait de les aider à en sortir. Il s’appelle le “protocole 6C” et peut être utile à comprendre et à appliquer face à des victimes d’un choc émotionnel intense, en cas de guerre mais aussi en dehors. Explications.
Vous entendez sans doute beaucoup parler du protocole 6C en ce moment. En France, cette méthode est de plus en plus citée, mais il existe dans notre pays un autre référentiel qui édicte les premiers secours psychologiques. L’occasion de se pencher sur comment fonctionne la prise en charge de ces urgences particulières.
Un tweet, posté par le grand reporter pour Paris Match Nicolas Delesalle a mis en lumière le protocole 6C. Il s’agit d’une sorte de guide des gestes de premiers secours à porter à une personne en état de choc, de sidération. Après une agression, un attentat, une scène d’une grande violence, les témoins ou les victimes peuvent en effet présenter des atteintes psychologiques importantes.
Ce protocole de premier secours psychologique a l’avantage d’être particulièrement efficace et d’être simple.
Le 15 mars au soir, le grand reporter de Paris Match Nicolas Delesalle évoquait son déplacement en Ukraine au cœur de la guerre et sa rencontre avec la population en souffrance, parfois physique mais aussi et le plus souvent psychologique par le choc de l’arrivée du malheur sur leurs maisons et leurs familles. Le spectacle de ces tragédies n’est hélas pas une nouveauté.
Utilisée depuis plusieurs années par l’armée israélienne, cette technique permet de sortir en quelques questions une personne de son état de choc.
Des questions “simples” pour extirper une personne touchée par un drame et en état de choc ? C’est l’objectif du protocole “6C”. Mise au point par un professeur israéliens, celle-ci a été utilisée par un journaliste français, Nicolas Delesalle, parti couvrir le conflit armé entre la Russie et l’Ukraine.
Un objectif principal: sortir les victimes de la guerre d’une sidération psychologique en une poignée de minutes. Découvert par l’armée israélienne en 2017, le protocole «6C» permet à un individu traumatisé de chasser les émotions pour se focaliser sur les actions vitales. Un concept qui refait surface dans les conflits qui enlisent l’Ukraine. Explications.
L’instinct peut être un allié dans bon nombre de situations. Mais, en temps de guerre, il peut se montrer carrément contre-productif. Et notamment pour les êtres humains soudain frontalement confrontés aux horreurs en Ukraine. L’émotion et l’empathie, réflexes pourtant naturels face à une victime, n’aident pas à notre survie immédiate.
Dans la continuité du Cycle universitaire Psycho-Education et Psychotraumatisme aigu.
Les crises, sanitaire et autres, sont associées à des violences sociales, au stress impactant et au psychotraumatisme. En France et en Europe, il y a une augmentation de la pression et du stress des personnels de la santé, de l’Education Nationale, de la Police Nationale, de la sécurité civile, de la protection de l’enfance ainsi que des citoyens de tous âges, dont les responsables associatifs engagés. Le risque terroriste reste permanent et les agressions et incivilités augmentent.
Le 15 mars au soir, le grand reporter de Paris Match Nicolas Delesalle évoquait son déplacement en Ukraine au cœur de la guerre et sa rencontre avec la population en souffrance, parfois physique mais aussi et le plus souvent psychologique par le choc de l’arrivée du malheur sur leurs maisons et leurs familles. Le spectacle de ces tragédies n’est hélas pas une nouveauté.
Remettre en fonctionnement” une personne après “un événement sidérant ou traumatisant” : voilà comment Emmanuelle Halioua décrit l’objectif du protocole 6C, créé en Israël il y a une quinzaine d’années, et dont elle est, pour l’heure, l’unique instructrice et représentante en France et en Belgique. Initialement destiné aux armées, le dispositif
Les Sapeurs-Pompiers de Charente sont les premiers en France à se former au secourisme psychologique. Lors d’un accident ou d’une catastrophe, il n’y a pas que les corps qui sont blessés.
Souvent la blessure ne se voit pas, mais ce sont des chocs post-traumatiques dont souffrent les victimes. Pour y répondre, le « Protocole 6C » (qui regroupe 6 mots qui commencent par la lettre C : Connexion, Communication, Contrôle, etc), a été mis au point par une équipe spécialisée en Israël.
Les Israéliens ont inventé le Krav Maga, technique qui permet de se défendre physiquement, ils viennent à présent de mettre en place la méthode «6C» pour blinder psychologiquement les reporters de guerre en cas de présence de victimes. «Par un hasard total, juste avant de partir en Ukraine, j’ai fait une formation au protocole 6C utilisé par les armées israélienne, américaine et allemande.
C’est une méthode unique au monde, qui permet de réduire les risques d’apparition de stress post-traumatique en cas d’accident ou d’attentat. Mis au point par l’armée israélienne, pour la première fois, le protocole des « 6C » est enseigné à des médecins, pompiers et infirmières à l’école du feu de Jarnac, en Charente.#IlsOntLaSolution
Les Troubles du Stress Post-Traumatique – TSPT – sont un syndrome psychiatrique qui survient après un événement traumatisant.
Le syndrome et ses symptômes ont été identifiés et nommés pendant la Première Guerre mondiale par Charles Samuel Myers (1873–1946), psychologue du service de santé des armées britanniques pour décrire le type de trouble dont souffraient de nombreux soldats pendant la guerre. Le syndrome a été appelé “shell choc“ – “obusite” en français – car pour Myers et les autres psychologues de l’époque, son origine était la violence de l’artillerie moderne, sans précédent dans l’histoire de la guerre.
C’est l’ histoire d’un Protocole magique et pourtant si… logique…
Là-bas… En Israël… On l’appelle le six’ C.
Dans l’armée américaine, on l’appelle ICOVER
C’est l’histoire d’un israélien qui s’est appuyé sur son expérience et sur de multiples études scientifiques pour créer le : 1er protocole de soin psychologiques en URGENCE.
[contact-form-7 id="1773" title="Télécharger le dossier de presse"]